Terra Nova

C’est la première nouvelle que j’ai écrite. Elle remonte a un petit moment déjà, donc je la poste puisque avant le site n’existait pas ! Elle se déroule dans l’univers des films Aliens (mais les dates ne sont pas cohérentes ^^) Bonne lecture !

Terra Nova

Nous somme en l’an 2180, le 12 janvier, et nous devons explorer une exo planète, son nom : Deeti, cette planète, découverte en 2177 a, pendant 3 ans, été étudié de loin par les meilleurs astrologues du Rassemblement des Nations Nouvelles . Cette planète doit servir de nouvelle terre (projet Terra Nova) au cas où notre Terre devient peu propice à l’habitat d’êtres vivants

Nous sommes dix à avoir été choisis pour ce projet :

-moi, Dann John ; zoologue ainsi que Anna, ma chienne

-Stephen, climatologue

-Shepard, biologiste

-Hellen, géologue

-Henry, Lawrence et Howard, 3 militaires

-Peter et Marty, 2 infirmiers

-Charly, le pilote

Nous devons vérifier si l’air est respirable, si le climat est acceptable, si les plantes ne sont pas dangereuses, si on peut construire sur le sol et enfin, chercher des traces d’aliens, et si ils existent, déterminer s’ils sont dangereux où pas.

Le pilote vient de nous annoncer que nous arrivons dans 45 minutes, j’ai regardé la carte (enfin le schéma, Hellen est chargée de dessiner une vraie carte) et j’ai vu le point d’atterrissage, nous sommes au Nord-est d’une zone tropical et au Sud d’un océan. Shepard, le chef d’expédition nous a expliqué que nous nous dirigerons vers la forêt tropicale puis longerons l’océan central afin de nous diriger vers les montagnes.

Nous venons d’atterrir et nous avons monté les tentes, et déjà, je vois que cette planète fourmille de vie, je vois un insecte de forme ovale, avec trois appendices en bout de thorax, et quatre antennes, deux grandes et deux plus petites, je l’ai pris en photo et je me dois de lui donner un nom : Lepsidaum

Nous marchons depuis plusieurs heures déjà dans la forêt tropicale mais j’ai la désagréable impression d’être observé, je me retourne mais à chaque fois, rien. La forêt est très dense ici, le sergent Howard pense que lorsque nous arriverons dans une clairière, nous camperons.

Anna se comporte bizarrement depuis quelques jours, comme si elle n’était plus elle-même. J’ai découvert un genre de mille-pattes, le Licolsius. J’ai toujours le sentiment d’être observé, d’ailleurs, en me retournant, j’ai aperçu une forme dans les arbres, mais elle était trop rapide pour la discerner correctement, ça avait la taille d’un lapin.

Anna est de plus en plus étrange, ça fait quelques jours qu’elle ne mange plus, un virus peut-être ?

Nous avons découvert une ruine, en pleine forêt, et nous sommes perplexes : devrions-nous l’explorer ? J’ai fait le tour de la ruine, en fait, ça ressemble plus à un vaisseau écrasé qu’un bâtiment,un genre de cargo spatial. J’ai décelé des inscriptions sur la coque et cela ne ressemble à aucun alphabet connu. Peut-être est-ce juste une marque sans signification, ou est-ce-là la preuve qu’une civilisation alien avancée existe ?

Nous nous sommes décidés à explorer le vaisseau, qui sait quels secrets y sont cachés ? Nous entrons par le cockpit où une grande fenêtre brisé nous sert de porte. Le cockpit donne sur un long couloir sombre où règne une atmosphère pesante et humide à vous glacer les os et le sang. Quelques portes se trouvent le long du couloir mais, malgré nos efforts, elles sont condamnées, et on ne pourra pas les ouvrir sans matériel adapté. Au bout du couloir se tient une porte, déchiquetée, probablement par le crash du vaisseau. Où par une explosion interne qui aurait provoquée le crash ? Derrière cette porte, une grande salle, remplie de sièges, de sofas et de tables, probablement la salle de réunion. Nous empruntons ensuite une échelle qui dessert la cale, une immense pièce, semblable a une grotte et qui semble être utilisé comme abri par bon nombre d’insectes. En avançant, j’aperçus une forme, comme un gros œuf, puis deux, puis quatre, en fin de compte, une bonne centaine d’œufs étaient là. Immédiatement, en bon zoologue, je réfléchis afin de déterminer à quelle espèce pourrait appartenir l’œuf, mais jusqu’à présent, aucune créature ne faisait cette taille. Sauf la chose de l’arbre, ce n’était donc pas une illusion… Au final, nous remontons, après avoir photographié le vaisseau. Nous décidons que pour le camp, il serait préférable de nous tenir éloignés du vaisseau.

Il c’est passé un fait étrange aujourd’hui, nous devions continuer l’exploration donc nous nous sommes éloignés du site du crash, mais après avoir marcher quelques heures, nous avons retrouvé le vaisseau. D’abord, nous avons cru voir un autre vaisseau, mais on a retrouvé les traces d’un camp, de notre camp. Lawrence avait ammené un genre de grosse pince pour déchirer du métal, aussi, nous avons décidé d’ouvrir les portes qui étaient fermées. Nous sommes repassés par le cockpit, puis descendu vers le couloir, la première porte fermait juste une salle de bain. La seconde menait à une cuisine, où il restait encore des couverts, mais fait d’un matériau étrange, un genre de métal très léger mais aussi très résistant, étrange… Après avoir exploré cette partie du vaissaux, nous sommes tombés sur une autre porte, derrière, il y avait un labo. Qui sait quels choses allont nous trouver la dedans ?. Après avoir fouillé la salle, nous avons trouvé au fond de la pièce, dans un grand tube de verre, une créature, morte. Elle avait quelques tentacules, ainsi qu’un corps rappelant celui des calamars. C’était un genre de poulpe spatial. Personne ne semble pouvoir dire si cette créature, vient-elle de cette planète, où d’une autre. Je décide d’emmener le bocal afin d’examiner plus en détail la créature. Après avoir passé quelques heures à fouiller le vaisseau, nous sommes sortis, il n’y avait plus rien d’intéressant.

Anna est morte aujourd’hui. Je me doutais que quelque chose se tramait, mais j’étais loin d’imaginer sa mort. J’ai décidé de l’autopsier demain(peut être pour me rassurer que sa mort n’avait rien de mysterieuse ?) j’ai donc préparé mon matériel médical et j’ai aménagé une tente pour pratiquer la dissection.

Ce que j’ai découvert dans Mablette est pour le moins surprenant. Et terrifiant. En effet, dans sa gorge était logé un parasite,pas un petit organisme, mais un truc gros comme un écureuil. Il contrôlait ma chienne à l’aide de tentacules, qui parcouraient son système nerveux. Cette découverte explique bien des choses concernant mon compagnon canin : son comportement à mon égard, sa manie de ne rien manger… J’ai décidé de creuser une tombe pour Anna, ainsi que de graver une stèle à son nom.

Depuis quelques jours, un autre détail étrange attise mon inquiétude : Peter se comporte bizarrement, il ne cesse de tourner autour du site du crash, comme inexorablement attiré par ce vaisseau. Il a proposé de redescendre dans la cale du vaisseau qu’on a, selon lui, que rapidement exploré. On a refusé plusieurs fois, mais il semble obsédé par l’idée, après nous être concerté, nous sommes tombés d’accord sur le fait qu’il valait mieux qu’il explore la cale avec nous plutôt que d’y aller tout seul.

L’atmosphère du vaisseau est toujours aussi pesante et glaçante, il y a quelque chose de malsain, j’ai la sensation que nous ne devrions pas être ici, que cette planète, et plus particulièrement ce vaisseau n’ont rien à nous offrir de bénéfique. L’ambiance vous gèle les os et le sang, comme la mort… La cale est, en plus de l’atmosphère, sombre, mais d’un sombre surnaturelle comme si les mystères de cette cave ne devait jamais apparaître au grand jour, ou comme si toutes lumières étaient absorbés par l’obscurité, mais le manque de sons était peut-être la chose la plus horrible de cet endroit, même le silence, comparé a ça, était assourdissant, et quelque chose vous forçait à ne pas faire de bruit, comme si on ne devait rien réveiller. Les œufs étaient toujours présents, mais, contrairement à la fois dernière, Peter s’en approcha, et ses yeux n’étaient pas comme d’habitude, c’est-à-dire calmes et reposant, ils brillaient d’une excitation terrifiante quant aux occupants des œufs. Je me détournais afin de continuer mon observation quant un cri retentit, le cri de Peter : la chose de l’œuf lui avait sauté à la gorge, ça ressemblait à une araignée ou a une main de couleur beige, deux grosses poches se tenaient derrière, avec une queue longue et puissante, comme celle des boas. Sous son corps, je distinguais une fente… sa bouche ? Inconsciemment, je lui trouvai un nom : FaceHugger. Heureusement, Henry eu le réflexe de sortir son arme et de tirer sur la cible, le tir atteignit la bête en plein dans son corps, elle tomba et rétracta ses pattes comme le font les araignées lorsqu’elles meurent. Peter étant encore en état de choc, Marty, l’autre infirmier fit de son mieux pour le rassurer. Nous, Shepard ainsi que moi-même, nous dirigèrent vers le corps sans vie de l’animal, tous deux à fin scientifique. Nous convînmes d’un accord : nous le disséqueront une fois rentrés au camp.

Nous avons disséqué le FaceHugger, et compris le mode de vie de cette créature. En fait, le FaceHugger et le parasite de Anna fonctionnent ensembles : le FaceHugger s’agrippe au visage de ces victimes et pond dans la gorge des hôtes puis ce décroche après quelques jours (L’hôte est toujours en vie). L’œuf grossi, puis le parasite éclos et prend le contrôle de l’hôte.

Nous ne savons pas si le parasite a pondu dans Peter ,et nous ne lui en avons pas encore parlé afin de ne pas l’affoler mais cela ne saurait tarder, de toutes manières, s’il voit le schéma, il comprendra.

Je commence à m’inquiéter, les FaceHuggers pourraient nous attaquer de nuit, ou lorsqu’un de nous s’est écarté pendant l’exploration. J’en ai parlé avec les membres du groupe, et cela les inquiète tout autant que moi. Dorénavant, nous ferons des tours de garde afin de nous prévenir si une attaque avait eu lieu.

Les membres du groupe deviennent paranoïaques, moi aussi : à chaque fois qu’un membre du groupe a une petite hésitation, ou qu’il tremble, je ne peux m’empêcher de penser que c’est un hôte… Les autres ont le même genre de comportement. Mais ce n’est pas tout, souvent, je me tâte la gorge afin de vérifier s’il n’est pas là.

La paranoïa est de plus en plus présente dans l’équipe : Howard a manqué de tuer Marty parce qu’il « clignait des yeux bizarrement »

Nous sommes pressés de quitter cette planète, je suis de plus en plus terrifié par les FaceHuggers, je sens mon cœur s’arrêter au moindre petit bruit, au moindre mouvement…

Nous avons décidés de nous éloigner de ce vaisseau, peut être que cette sensation de malaise, de peur nous laissera en paix sitôt que nous auront quitté la proximité de l’épave. En continuant l’exploration, nous avons trouvés une grotte qui semblait s’enfoncer vers les profondeurs de cette planète, en temps qu’explorateur, nous devions y rentrer : c’est ce que nous fîmes, et ceci malgré nos réticences, et nos craintes…

La grotte évoquait pleinement la porte vers les Enfers : elle descendait, sans que nous puissions apercevoir la moindre fin tant l’obscurité était dense, comme un mur, elle était pleine de stalagmites et des stalactites, semblables aux dents d’un ver géant n’ayant pour unique but de se nourrir des âmes en peine passant par là… L’atmosphère était en tout point semblable à celle du vaisseau, sauf pour le silence : ici, le silence était constamment rompus par le bruit des gouttes d’eau tombants sur le sol, ainsi que par d’autres sons plus personnes qui venait des tréfonds du tunnels. Personne n’osait imaginer la provenance de ses sonorités lugubre. Plus on descendait, plus les parois de la grotte semblait recouvert d’une matière étrange, je la touchais afin de m’en rendre compte, et cela ressemblait à une muqueuse gluante, je fis part de mes conclusions aux autres et se posèrent les mêmes questions que moi : Qu’est ce qu’est cette chose, qui ou quoi la mit ici, pourquoi ??? La grotte cessait de s’enfoncer,et elle se redressait mais nous n’étions pas au bout du tunnel. Plus loin, d’autres tunnels rencontraient celui que nous empruntions, cela me fit penser aux fourmilières, plusieurs tunnels se rencontrant formants un dédale menant vers leur reine. Je ne put m’empêcher d’en parler a mes camarades. Un incident vient troublé le calme apparent de la grotte, en effet, une créature qui venait d’un autre couloir bifurqua vers le tunnel que nous suivions et si engagea si rapidement qu’il n’eut pas le temps de nous remarquer. Je commençait à croire que cette espèce vivaient de manière organisé et cela m’inquiéta, si nous avions vu les ouvriers et les nourrices, il devait y avoir des guerriers , et une reine. Et J’esperait ne pas les rencontrer. Mes collègues me firent remarquer qu’à partir de cette endroit, les tunnels s’élargissaient, et que la muqueuse était omniprésente sur les murs, mis à part à quelques endroit où des morceaux de métal sortaient du sol, c’est à ce moment que je compris, nous étions dans une épave, les tunnels rejoignaient un vaisseau, écrasé ici depuis fort longtemps. Mais je me trompais, l’épave n’était pas ici depuis fort longtemps : sur un morceau du vaisseau qui dépassait du sol, j’aperçus un logo, celui de la A.I.V.S :Association International du Voyage Spatial), une association récente qui a pour but de faciliter le voyage spatial. Si ce vaisseau était là, la R.N.N devait être au courant, la boite noire du vaisseau avait du envoyer des informations sur le crash au QG. Peut-être ai-je mal lu le dossier concernant la planète et ainsi raté le passage mentionnant l’expédition. Ou alors, la R.N.N nous a envoyé ici en toute connaissance de cause…

Nous étions bouches bées, ici se tenait une gigantesque caverne, éclairé grâce au champignons phosphorescents sur les parois de la-dite cave. L’atmosphère était, malgré l’humidité, étrangement agréable, depuis que nous étions arrivé sur cette planète, nous étions bien ! Nuls sons étranges, aucunes créatures terrifiantes, seulement des animaux merveilleux: un genre de pélican énorme, mais avec un plumage multicolore, comme celui des perroquets, mais ces plumes semblaient changer de couleurs, passant du rouge au vert, en passant par le bleu… il y avait aussi des mammifères, de la taille d’un labrador, un genre de raton-laveur, mais sa tête était paisible, elle vous calmait, comme si elle vous hypnotisait. Dans un petit étang non loin de nôtre position, sautait un petit animal, comme un dauphin mais en plus petit. Partout sur les parois, il y avait des plantes, des fleurs, plus magnifiques les unes que les autres… Je n’avais vu pareille paysage de ma vie, j’étais impressionné par les arbres qui poussaient ici, ils étaient énormes, leurs racines s’étalaient sur les parois de la grottes, couvertes de plantes et de champignons phosphorescents. Mon cerveau refusait d’expliquer comment des animaux avait pu se retrouver ici… On était dans un rêve, malheureusement pour nous : dans nôtre émerveillement, nous n’avions pas vu les créatures dans l’ombre, ce fut terrible. Elles nous attaquèrent en un éclair, Lawrence tenta de se protéger en tirant un coup de pistolet-laser, mais le tir manqua de précision et rata la cible, le FaceHugger visé se précipita sur la pauvre femme et lui sauta à la gorge, on ne pouvait plus rien, Charly fut lui aussi attaqué par un alien. Ce qui restait de nôtre équipage ainsi que moi-même s’enfuirent par le tunnel qui nous avait emmené ici, nous le remontâmes à une vitesse incroyable. Une fois hors de la grotte, on continua de courir pendant plusieurs minutes sans nous retourner.

Une fois calmé, nous avons creusé des tombes pour les disparus. Mais on n’allait pas laisser ces créatures massacrer des nôtres sans réagir. On allait se venger

Nous rassemblâmes un maximum d’armes, de munitions et d’équipement, bien décidés à en finir Afin d’être sur de détruire le nid, nous avions bricolé une bombe. Nous étions sur que le nid se situait dans la cale de l’épave. Nous nous dirions vers l’épave quand je me rendis compte qu’il fallait préparer notre retraite, aussi, je contactais le centre d’opération pour savoir si une navette d’urgence pourrait atterrir. La réponse ne se fit pas attendre : nous étions seuls, selon l’administration, il n’y avait plus de navettes disponibles avant plusieurs semaines. Comme par hasard…

J’en informait mes compagnons, ils s’en doutaient, et s’il fallait mourir sur cette planète, autant le faire en anéantissant le danger pour l’espèce humaine. Me voilà donc engagé dans une mission suicidaire, moi major de ma promotion à l’université…

Nous pénétrâmes dans les tunnels, Henry à la tête armé du lance-flammes que nous avions réussis à bricoler. Nous avions conclus que le feu serait notre meilleur arme contre ces choses… Nous allions vite vérifier cette hypothèse car, déjà, des bruits nous parvenaient via l’écho des tunnels. Nous avancions prudemment dans tunnels, faisant bien attentions aux murs, les aliens auraient pu se cacher dans les parois afin de nous surprendre. Mes compagnons ainsi que moi-même étions sur les nerfs, chaque bruits nous faisaient sursauter. Chaque éclat de lumière nous alarmait. Nous redoutions le moment où le premier alien surgirait. Nous n’attendîmes pas longtemps, en effet, nous aperçûmes un alien surgir d’un couloir pour se diriger plus profond dans les tunnels, il ne semblait pas nous avoir vu, mes compagnons allait faire feu quand je suspendis leurs gestes, en effet, l’alien se rendait probablement dans les cœur du nid, la où nous nous rendions, aussi nous pourrions le suivre afin de perdre le moins de temps et de munitions, nous n’en aurions sûrement pas assez… Nous suivîmes prudemment l’alien qui se déplaçait rapidementers le cœur du nid. Les tunnels s’élargissaient, se transformant en grottes, la concentrations d’aliens devenait de plus en plus importantes, mais ils ne semblaient pas nous voir, en effet, plusieurs aliens étaient passé tout prêt de nôtre groupe sans pour autant changer de comportement. Cela nous rendait perplexes : pourquoi ? Plusieurs théories germaient dans mon esprit, peut être nous étions couvert par l’odeur de l’alien que nous suivions, les aliens ne semblaient pas avoir d’yeux…

Après plusieurs minutes de marche, nous arrivions au cœur du nid, là où tout avait commencé, et où tout finira… Nous vîmes la Reine, comme pour les abeilles, elle était énormes, elle faisait le triple de la taille de ceux que nous avions vus jusqu’à présent… Mais elle n’était pas seul, en effet, trois aliens semblaient la protéger. Ils avaient, eux aussi, une taille démesurée, le double des aliens « standards« . Nous n’avions que peu de temps pour agir, car les protecteurs de la Reine semblaient nous avoir remarqués et commençaient à s’approcher dangereusement de nous. Henry fus le premier à agir, la langue de flamme atteignis le premier protecteur de plein fouet, ce dernier sauta en arrière pour s’échapper de la flamme mortelle, mais trop tard, déjà, tout son corps s’embrasait, il gesticulait en poussant des cris horribles, ces compagnons semblaient comprendre d’où venait le danger et aussi, s’approchaient de moi en feintant. Heureusement, mais camarades étaient eux aussi armés, et ouvrirent le feu sur les aliens, malgré leur carapace épaisses, les balles semblaient les affecter, déjà, l’alien en feu rendit l’âme dans un cri horrible, l’alien sur qui mes camarades avaient ouvert le feu était en train de dépérir sur le sol, mais le troisième protecteur semblait beaucoup plus prudent que les deux autres, il se précipita vers Stephen, qui n’avait pour arme qu’une barre en fer et sa queue qui était pourvue d’un énorme dard qui transperça Stephen qui décéda avant d’avoir réaliser ce qu’il venait de subir. Mes camarades et moi ouvrirent le feu simultanément sur lui, il n’eut pas le temps d’esquiver les attaques, aussi il ne tarda pas a rejoindre les deux autres aliens. Il était temps d’en finir, avant que d’autres aliens n’arrivent. Nous nous approchâmes de la Reine qui, à cause de son énorme abdomen où se stockaient les œufs, ne pouvaient pas se déplacer, elle comprenait qu’elle ne pouvait plus rien, aussi elle poussa un cri terrifiant qui vous glaçait le sang et les os. Mais il en fallait plus pour nous arrêter, aussi, nous marchâmes d’un pas décidé vers elle, en rechargeant nos armes, Henry ouvrit le feu le premier, la langue de flamme qui s’échappa du canon du lance-flammes atteignit la Reine en plein thorax , elle s’embrasa en un instant, une odeur âcre et horrible s’échappait de sa chair qui brûlait, mes compagnons ouvrirent quand même le feu sur elle, du sang vert s’échappait des trous que créaient les balles, ce sang semblait corrosifs, les sols se trouaient comme avec de l’acide, attaquant le métal qui se trouvait en dessous. Charly nous informa que d’autres aliens s’approchaient, aussi, nous nous dépêchâmes de sortir de la bombe. Mais l’armement fut bien plus compliqué que prévu, nous n’avions pas pensé que nous serions sous l’effet du stress. Mes mains tremblaient, je ne n’arrivait plus a me rappeler sur quels boutons appuyer. Mes compagnons qui s’étaient disposés en cercle autour de moi ne pour me protéger se faisait de moins en moins nombreux. Il fallait que je me rappelle, je ne pouvais pas échouer. Henry commença à me crier quelque chose, mais il fut interrompu par une alien qui lui lacéra le visage avec ses griffes. Les créatures arrivaient plus en plus nombreuses, mes camarades tombaient l’un après l’autre. Ils vendaient chèrement leurs peaux, mais, tels la tête de l’hydre, pour chaque alien tués, deux autres arrivaient, mes doigts tapaient au hasard des séquences de chiffres, quand soudain un son se fit entendre, la bombe était amorcée, nous avions réussi… Que… je ne sens plus mon ventre… Il y a un genre de truc dedans ? Foutus aliens…

Rapport officiel de l’A.I.V.S sur l’expédition « Terra Nova »

Le groupe de 11 personnes qui menait l’expédition Terra Nova n’a plus donné de réponse. Les onze explorateurs avaient comme mission de s’assurer que la planète Deetie était colonisable. Le dernier contact recensé date d’il y quelques jours, ou Dann John, le zoologue de l’expédition, a contacté le centre pour demander si une navette d’urgence pouvait se poser sur Deetie afin de procéder à une exfiltration d’urgence. Cette demande n’a pu être accepté puisque aucune navette n’était disponible.

Je recommande l’envoi d’un commando afin d’enquêter sur le sort de l’équipe. Ce n’est pas la première mission sur Deetie qui se termine prématurément, un autre groupe a disparu dans des circonstances similaires alors qu’ils devait sauver l’équipage d’un crash. (Consulter archives D-42).

Fin

N.B

Cette histoire prend place dans l’univers des films Alien, les créatures ne sont pas issus de mon imagination mais de celle de Ridley Scott.

 

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